Ils jonchent les plages, s’entassent et brûlent dans d’immenses décharges. Au Ghana, les vêtements usagés venus du monde entier provoquent une catastrophe écologique. Issus de la fast fashion, de mauvaise qualité, seule une partie de ces vêtements est vendable. Le reste termine dans d’immenses décharges sauvages, comme celle d’Old Fatama, un bidonville où s’entassent 80 000 personnes.