À Cuba, la mer grignote les côtes et les tempêtes s’abattent sans répit. Chaque année, l’île lutte pour ne pas disparaître sous la colère du climat. Cuba s’est ouvert aux étrangers en 1994, sous l’impulsion de Fidel Castro. Récemment, il a enregistré un taux de fréquentation record de 4 millions de visiteurs. Pour préserver cette nouvelle manne financière, l’Etat doit faire face aux aléas climatiques car Cuba est sur le sentier des cyclones et régulièrement sujet à des vents d’une violence extrême et des pluies torrentielles. Grâce à un système efficace mis en place, les pertes humaines sont presque nulles.