De Donald Trump aux États-Unis à Javier Milei en Argentine, les droites extrêmes, longtemps reléguées à l’antichambre du pouvoir, sont désormais aux commandes de grandes puissances. Solidement installés ou aux portes de l’être, notamment en Europe, ces régimes sont parfois désignés sous le terme de “fascisme”. Une appellation qui fait débat dans son usage contemporain, que ce soit chez les chercheurs, les responsables politiques ou dans l’opinion publique.