D’un côté, 800 gratte-ciel ultramodernes, de l’autre, 3 500 bidonvilles où des millions d’habitants survivent avec un salaire de 35 euros par mois. Il y a six ans, un prêtre français, ancien directeur d’une multinationale, s’est installé à Calcutta. Il a dédié sa vie aux plus pauvres, aux oubliés de la Cité de la joie. Prêtre missionnaire, le père Laurent a repris la direction d’un centre éducatif, fondé il y a 50 ans. Les enfants des bidonvilles y sont accueillis, nourris et scolarisés.