Dans la Grèce antique, le parcours de soin relevait d’une conception profondément liée à la religion, à la philosophie et à l’observation de la nature. La maladie n’était pas seulement perçue comme un dysfonctionnement corporel, mais aussi comme un déséquilibre entre l’homme, les dieux et son environnement. Ainsi, se soigner impliquait autant une approche spirituelle que des pratiques médicales concrètes.