Cendrillon, Le Petit Chaperon Rouge, Le Petit Poucet… Derrière la féerie, les contes pour enfants abordent des peurs, des tabous, des désirs profonds.
Le pédagogue et psychanalyste américain Bruno Bettelheim a montré, dans « Psychanalyse des contes de fées » (1976), que le merveilleux est un matériau privilégié pour l’enfant, qui y puise des repères inconscients pour grandir.
La professeure de littérature Bernadette Bricout revient sur le rôle fondamental du conte dans l’éducation, la psyché et la transmission.
