En fin d’études, les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, s’engageant à soigner toute personne sans distinction. Mais dans les faits, est-ce vraiment le cas ?
Pourquoi certaines personnes sont-elles moins bien prises en charge que d’autres ? Est-ce la faute des médecins eux-mêmes — ou celle d’un système qui trie, hiérarchise, invisibilise en permanence ? Quels effets produit cette médecine qui peine à accueillir les corps minoritaires ?