Des femmes autochtones ont pris contact avec nous pour dénoncer la difficulté à porter plainte pour pédophilie dans leurs communautés; surtout lorsqu’il s’agit de leaders, que ce soit un chef ou d’ex-policiers autochtones. La police autochtone elle-même est mise en cause dans leurs histoires; une police sous-financée, mal formée et surtout soumise aux aléas politiques locaux du conseil de bande dont elle relève. Leurs histoires sont tristes à pleurer mais la combativité de ces femmes est remarquable. Elles veulent briser le cercle vicieux des abus sexuels, reliquat des pensionnats. Un documentaire d’ Anne Panasuk & Emmanuel Marchand