Trente-cinq ans après la chute du dictateur Pinochet, les Chiliens et les Chiliennes viennent d’élire José Antonio Kast à la tête du pays. Ce nouveau président revendique ouvertement l’héritage pinochetiste et se place en rupture avec la séquence ouverte en 2019, où la demande sociale semblait aller vers davantage d’État social et d’intervention publique.
Dans un contexte régional marqué par la montée des droites radicales et la centralité des thèmes de l’insécurité et de l’immigration, que laisse présager ce mandat pour la démocratie chilienne ?