La colère est une émotion saine, qui nous amène à nous affirmer. Ne pas la ressentir nous rend effacé(e), peu affirmé(e) ou « sans intérêt ». Attendre trop pour l’exprimer et la voici disproportionnée, terrible, sans limite. Certain(e)s, à la place… rigolent tout le temps (surtout lorsque quelqu’un les énerve ! D’autres au contraire se disent « soupe au lait », « colériques par nature »… est-ce vraiment la réalité ? Est-ce dans les gènes ? Pourquoi est-ce ainsi ? Et comment trouver le juste milieu ? Comment dire sa colère sans « pourrir » l’autre, sans être blessant(e) ?