En 2014, quinze personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont récupéré en grande partie le contrôle de leurs mouvements grâce à une thérapie innovante mise au point entre le CEA de Fontenay-aux-Roses, l’Hôpital Henri Mondor, l’Université Paris 12 et la société britannique Oxford Biomedica Ltd. Cette thérapie consiste à injecter dans le cerveau des patients qui présentent une forte carence en dopamine, un vecteur viral codant pour les gènes responsables de la production de ce neurotransmetteur. Les recherches se poursuivent pour améliorer le procédé et le rendre adapté à chaque cas particulier (médecine de précision).

Avec Philippe Hantraye.