C’est à Isérables en Valais, presque à hauteur de nuage, qu’un drôle de cowboy a posé son sac une fois la retraite venue. Une façon pour Ernesto de prendre de la hauteur et de travailler ses racines. Car même s’il les a bien sur terre, il a toujours eu un pied en Suisse et l’autre au Venezuela. Entre deux, comme en équilibre, un espace qu’Ernesto fait vivre de mille petits bonheurs, de création foisonnante, d’amitiés, de musique et de nature. Comme un artiste de l’enthousiasme dans la lumière d’un diamant. Un documentaire d’Antoine Plantevin pour Passe-moi les jumelles