Le prélèvement obligatoire à la mode ouzbek avait, jusqu’à il y a peu, un nom, un prénom, un visage et même un surnom Googoosha… C’est l’aînée du despote local.
Cette diplômée d’Harvard, chanteuse et actrice par caprice mais affairiste par nature, a mis son pays en coupe réglée, devenant au fil des ans, celle par qui les investisseurs devaient passer pour faire des affaires.
Gaz, télécom, or, médias, immobilier, banques, restauration, son nom figure sur tous les contrats clés du pays…
Aujourd’hui, la fille à papa la plus crainte d’Ouzbékistan n’est plus qu’une princesse en disgrâce, au cœur de plusieurs enquêtes judiciaires, dont une ouverte en France.