L’histoire de l’OVNI de la base aérienne de Vandenberg fascine autant qu’elle intrigue, marquée par des témoignages troublants et des faits difficiles à ignorer.

En octobre 2003, plusieurs dizaines de personnes présentes sur la base, notamment des agents de sécurité de l’US Air Force et des techniciens travaillant pour Boeing, affirment avoir observé un immense objet rouge en forme de carré parfait, de la taille d’un terrain de football. L’objet est apparu silencieusement au-dessus d’un site de lancement, semblant venir de l’océan Pacifique, et est resté stationnaire pendant environ 45 secondes. Il aurait ensuite disparu rapidement vers l’intérieur des terres. Ce phénomène a semé la panique chez certains témoins, provoquant des perturbations des communications radio et des réactions de peur inhabituelles dans un environnement aussi rigoureusement contrôlé.

Ce cas est d’autant plus notable que l’objet observé présentait une forme géométrique très définie et une luminosité rouge intense, ce qui le distingue des effets lumineux courants dans les zones de lancement, comme les traînées de fusées ou les réflexions atmosphériques. Le fait qu’il ait été observé par un grand nombre de témoins professionnels dans un contexte hautement sécurisé donne un poids particulier à leur récit.

Par ailleurs, l’incident a été évoqué publiquement bien des années plus tard, à travers des auditions officielles aux États-Unis où des personnalités du monde militaire ont confirmé son authenticité et sa singularité. Cela a relancé l’intérêt pour la base de Vandenberg, déjà connue pour un autre événement célèbre datant de 1964, souvent appelé l’incident de Big Sur. À cette époque, des opérateurs auraient filmé un objet lumineux semblant désactiver un missile balistique en vol. Si certains sceptiques avancent des explications techniques comme l’usage de contre-mesures militaires, les détails fournis par les témoins restent troublants.

Dans le cas de 2003, les tentatives d’explication rationnelle ne parviennent pas à rendre compte de la totalité des éléments décrits, notamment la forme carrée et la stabilité parfaite de l’objet. Des effets atmosphériques comme le phénomène crépusculaire sont bien documentés, mais ne justifient ni la géométrie, ni le comportement observé.