Dix écrivains israéliens dressent le portrait de leur pays, où, comme le dit Eshkol Nevo, il «suffit de tendre l’oreille pour avoir l’idée d’un livre». De son côté, Zeruya Shalev explique que depuis la guerre des Six Jours, et malgré une enfance plus ou moins normale, elle a toujours la crainte de voir un proche disparaître. Et que cela se ressent dans ses textes.