Depuis la crise de 2008, certaines maisons de campagne ont perdu jusqu’à 40 % de leur valeur.
Dans la Creuse, en Bretagne ou sur la côte Atlantique, les prix s’effondrent… et attirent une nouvelle génération d’acheteurs. Locataires devenus propriétaires, familles en quête d’un havre de paix : pour certains, c’est l’opportunité d’une vie.

Mais derrière chaque bonne affaire, une réalité plus dure : propriétaires contraints de vendre à perte, maisons bradées malgré des années de sacrifices.