Parce qu’elles sont ancrées dans une culture capitaliste et hétérosexiste, nos relations affectives sont soumises aux lois du marché. Des lois qui nous poussent à utiliser l’autre, même dans les situations les plus intimes, pour assouvir un besoin d’accumulation, de validation, de domination.

L’amour est-il possible si on envisage toutes nos relations comme une lutte de pouvoir ? Comment la logique marchande a-t-elle infiltré nos liens affectifs ? À quoi ressembleraient nos relations si on extirpait nos cœurs de la marchandisation ?