Les Grecs se débrouillent comme ils peuvent pour bousculer le sort du « D » comme déficit ou comme dégringolade. Touchés de plein fouet par la crise, jeunes comme retraités empruntent les voix de l’économie parallèle pour arrondir leur fin de mois. Des comités de quartiers se forment et l’entraide devient la règle. Dans le nord du pays, une nouvelle monnaie non-officielle est même née pour contourner l’euro. L’effet Papillon est allé à la rencontre de ces Grecs sans carnet de chèques.