Penser contre son cerveau est une question qui soulève des enjeux fascinants à la croisée de la philosophie et des neurosciences. Le cerveau, en tant qu’organe biologique, est responsable de nos pensées, émotions et comportements. Pourtant, l’idée même de « penser contre son cerveau » suggère la possibilité d’une autonomie de l’esprit vis-à-vis de cet organe, comme si la pensée pouvait échapper à ses propres fondements neuronaux.