Les personnes en surpoids sévère ou obèses représentent 10% de la population en Suisse. C’est donc 10% de la population qui sont ainsi rejetés et victimes de grossophobie. Difficile d’imaginer ce que subissent ceux que nous qualifions avec mépris de « gros ». Alors que l’obésité est une maladie où la composante psychologique est capitale, les personnes grande taille sont suspectées d’être paresseuses, négligentes, incapable de se contrôler et les moqueries fusent.