Parmi les 10 produits les plus soumis au risque de fraudes, le poisson arrive en seconde position, derrière l’huile d’olive et devant les aliments biologiques. Le frelatage, l’altération, la substitution et la contrefaçon caractérisent les pratiques frauduleuses. Lesquelles surviennent lorsque le gain financier potentiel est élevé et le risque d’être pris faible. La vente de poisson issu de l’aquaculture sous l’appellation « sauvage » ou des mentions erronées du poids de vente sont pointées du doigt comme les fraudes les plus communes. Un documentaire Un documentaire réalisé par Lamia Belhacene.