Volkswagen est accusé au Brésil d’avoir collaboré avec la junte militaire au pouvoir entre 1964 et 1985 en dénonçant certains de ses employés, militants syndicaux ou opposants au régime. Et ce n’est pas tout. Des anciens salariés parlent même d’actes de tortures perpétrées dans les usines même du constructeur, lors de ces 21 années de dictature qui ont fait 400 morts, et des dizaines de milliers de prisonniers politiques, sans parler des exilés. Papillon est parti enquêter, forcément.