Pour se protéger des rigueurs du froid, le yak développe sous son pelage rêche un duvet très doux qui ne se récolte qu’à la main : le khullu.

Aux confins de la Chine de l’Ouest, dans la région de l’Amdo, à 3200 mètres d’altitude, Dechen, une jeune franco-tibétaine, a créé un atelier pour les nomades tibétains. Ensemble, ils ont ravivé le tissage de la laine de yak.

Leurs étoffes sont aujourd’hui portées de Pékin à Paris.

Tiré du film : « Au fil du monde – Tibet
Un documentaire de Isabelle Dupuy Chavanat & Jill Coulon