« Ce qui rend les femmes invisibles dans l’espace public, c’est leur mobilité, leur fuyance », analyse la géographe Édith Maruéjouls. Car oui, entre les femmes et les hommes, l’expérience de l’extérieur n’est pas la même. Pour analyser ces inégalités sexistes, le spatio-féminisme propose d’adopter le prisme de la géographie.