La carrière de Gloria Swanson doit beaucoup à Mack Sennet, qui la remarque et l’impose à la Paramount. L’actrice s’illustre alors dans les muets du moment et ambitionne de produire ses propres films. Après avoir quitté la société, elle y revient, mais cette fois collabore avec Cecil B. DeMille qui, peu à peu, lui offre ses plus beaux rôles. L’avènement du cinéma parlant met un frein à son ascension. DeMille, adepte du gigantisme, veille toutefois sur son destin. En 1950, elle retrouve le cinéaste et Stroheim pour «Boulevard du crépuscule», Un documentaire réalisé par Billy Wilder.

Un documentaire de Laurent Préyale.