En Syrie les femmes, chacune à leur façon, prennent leur revanche. Il y a celles, Kurdes, Yézidies ou Arabes, déterminées à faire mordre la poussière à Daech et qui ont pris les armes. Il y a celles qui montent au front, mais sur le plan politique, et participent aux premières élections locales dans leurs régions, au grand dam de Damas et d’Ankara. Et puis, il y a les autres, les grandes perdantes, veuves ou femmes de djihadistes qui attendent que l’on décide de leur sort, dans des camps de réfugiés. Autant de femmes, autant de parcours.