Assister à une coplera durant un carnaval est quelque chose de courant en Argentine. Mais il est extrêmement rare d’assister à une coplera dans l’intimité, surtout lorsque celle-ci est donnée par une femme.

Cette femme, originaire de la ville de Cachi, a toujours su qu’elle voulait être une coplera. Pour elle, le chant est une moyen pour les femmes de s’affirmer: « Pour moi la femme qui chante une coplera improvise, elle revendique, elle s’affirme. Elle n’a pas peur, et n’a jamais honte de dire ce qu’elle pense. »

Extrait du film : « Traits d’Union – Argentine, les terres du cheval-papillon »
Un documentaire de Alexandre Mostras