Dernier volet de cette ambitieuse série documentaire sur les relations complexes que l’être humain entretient avec la nature : le vingtième siècle, avec notamment le peintre Piet Mondrian, la photographe Margaret Bourke-White et le land art.

La foi dans le progrès et la technique font passer la nature au second plan, quitte, parfois, à l’effacer totalement, y compris dans l’art. Piet Mondrian, qui avait commencé sa vie en tant que peintre paysagiste, se tourne progressivement vers l’abstraction. Dans les années 1930, la photographe Margaret Bourke-White saisit la transformation de l’URSS, pays essentiellement rural, en un État moderne et industriel. Mais le progrès est-il toujours synonyme d’un avenir meilleur ? L’avènement de l’ère atomique et des premiers scandales environnementaux s’accompagne de la naissance du mouvement écologiste. Une nouvelle génération d’artistes recommence à travailler non seulement dans la nature, mais aussi avec elle. Le land art est né…

Relation complexe
Comment sommes-nous passés d’un lien symbiotique avec la nature à un rapport aussi distant, voire hostile et destructeur ? Quels rôles ont joué l’invention de l’agriculture, l’essor des grandes cités, le développement des religions, les progrès de la connaissance et des techniques ? Cette série documentaire ambitionne de raconter l’histoire de cette relation complexe à travers les époques et les continents, des peintures rupestres aux sculptures assyriennes en passant par les jardins zen et la peinture romantique. Avec l’idée que les œuvres du passé recèlent peut-être la clé de notre avenir sur cette planète.

Documentaire disponible jusqu’au 31/08/2025