Forcément alcoolique et drogué, le « punk à chien » serait de surcroît maltraitant avec son animal qu’il rendrait sourd à force d’écumer les festivals. Le jeune zonard des villes est-il vraiment un mauvais maître-chien ? Le canidé des rues est-il plus mal en point que le racé d’appartement ? Le chien joue-t-il un rôle de béquille sociale ?