À Paris, Hambourg ou Londres, on explore cette contradiction intrinsèque en interrogeant dans de grandes agences publicitaires les “créatifs” renommés, ceux qui savent éveiller chez autrui la petite étincelle mystérieuse appelée désir. Ils disent, chacun à leur façon, leur amour de leur métier, composant à plusieurs voix un éloge de la “bonne” publicité, exemples réjouissants à l’appui.