Cap sur Nessadiou, chez Nadir Boufenèche descendant de Caledoun. Caledoun, c’est le nom que les bagnards arabes ont donné à la Calédonie à leur arrivée il y a 150 ans. « Que Dieu t’envoie à Caledoun et ses portes en fer. » Dans la conscience collective algérienne, la Calédonie est restée comme le lieu de l’exil, de la punition, celui où l’on était maudit. Après trois générations, que reste-t-il de cette histoire douloureuse ?