Comme l’affirme A. Mangin, écrivain et vulgarisateur scientifique, en 1867 : « Il ne s’agissait pas seulement de proclamer la déchéance de la symétrie et l’avènement du paysage » pour comprendre la lente évolution et les nouvelles découvertes – tant scientifiques qu’artistiques – touchant à la nature qui amenèrent la subtile transition vers cette « inoffensive révolution » qui vit s’élaborer l’art des jardins pittoresques. Ce beau chantier reste d’actualité.