L’électricité et l’Art nouveau changent l’aspect de nos villes. Du Caire à la Chine, en passant par l’empire russe les capitaux et le savoir-faire belges s’exportent aux quatre coins du monde. L’essor industriel est prodigieux, mais le sort de la classe ouvrière demeure lamentable ; celui des Congolais récolteurs de caoutchouc est pire encore. Survient alors la Grande Guerre : la Belgique tiendra bon dans les tranchées de l’Yser