À Kaboul, où nous l’avions rencontrée en 2015, Masomah Alizada faisait partie de l’équipe de cyclisme féminine. Menacée par les Taliban, sa famille a dû quitter l’Afghanistan et vit réfugiée en France depuis 4 ans. À son arrivée, elle a été accueillie par Patrick et Thierry Communal, deux férus de vélo qui l’ont accompagnée et soutenue.  À Kaboul, où nous l’avions rencontrée en 2015, Masomah Alizada faisait partie de l’équipe de cyclisme féminine. Menacée par les Taliban, sa famille a dû quitter l’Afghanistan et vit réfugiée en France depuis 4 ans. À son arrivée, elle a été accueillie par Patrick et Thierry Communal, deux férus de vélo qui l’ont accompagnée et soutenue. Masomah, qui lorsqu’elle est arrivée ne parlait pas un mot de français, étudie désormais le génie civil à l’Université de Lille. Grâce à une bourse de la solidarité olympique, elle a aussi pu poursuivre l’entraînement. Un travail payant : en juin dernier, elle a été sélectionnée pour participer aux Jeux Olympiques de Tokyo, dans l’équipe de réfugiés du Comité International Olympique. Elle a couru l’épreuve contre la montre, 22 km sur les pentes du Mont Fuji. De Kaboul à Tokyo, un destin olympique. Documentaire disponible jusqu’au 17/08/2024.