Les œuvres de Samuel Rousseau conjuguent un usage discret mais très performant des technologies numériques, au service d’un projet de réenchantement du monde qui n’est ni niais ni pavé de bons sentiments mais qui affirme, par une poétique des formes qui lui est propre, l’inadaptation de l’homme aux lois de la standardisation des formats auxquels l’existence contemporaine le contraint.