Le besoin d’être aimé est universel. Mais, s’il devient obsessionnel, cela peut cacher une dépendance affective. Ce trouble du comportement, souvent associé à la consommation de drogues ou d’alcool, trouve son origine dans la relation parent-enfant.
Elle court, elle court, la maladie d’amour… et elle devient parfois même une véritable obsession qui relève de la pathologie. La clinique Belmont, à Genève, est pionnière dans la prise en charge de ce trouble affectif qui trouve son origine dans la relation parent-enfant. La directrice de cet établissement, Sophie Nicole, relève dans le reportage que les dépendants affectifs sont dépourvus d’une base psychologique et émotionnelle qu’on appelle « secure ». La bonne nouvelle, c’est qu’on peut y remédier. 36,9° nous éclaire sur les différentes thérapies permettant une meilleure régulation émotionnelle.