Les femmes de pêcheurs mauritaniens proposent une nouvelle répartition des tâches pour sauver leur activité. Depuis des siècles, le peuple des Imraguen vit de la pêche au large des côtes mauritaniennes. Au sein du couple, la répartition des tâches était jusqu’ici clairement définie : l’homme rapportait sa prise à la maison, la femme en faisait du poisson séché, un plat très apprécié en Mauritanie.