Aujourd’hui, le GBL se démocratise et est de plus en plus utilisé de façon récréative. Ce sont les jeunes (18 à 24 ans) qui en consomment le plus, le plus souvent en boîte de nuit. Mais il a fallu un décès pour que la sonnette d’alarme soit tirée.
De quelle façon est-il si facile de se procurer ce produit pourtant interdit ? Qu’est-ce que le GBL ce dérivé liquide présent dans des décapants pour jantes de voitures ? Comment endiguer ce fléau qui touche toutes les grandes villes françaises ? Quelle est la réaction du monde de la nuit et des pouvoirs publics ? Un documentaire de Veronika Siejak.