Il faut quitter les dernières ombres, les dernières plantations derrière les gardiens de Thèbes que sont les colosses de Memnon pour aborder la nécropole dans son paysage aride et ses vallées asséchées.
Mais lorsque l’on atteint les entrailles de ces tombeaux que se soit dans la vallée des Reines, celles des artisans ou des nobles ; on découvre des scènes historiques, la religion de tout un peuple qui s’étalent dans des couleurs d’une incroyable « fraîcheur ».
Alors face au temple d’Hatshepsout, creusé à même la roche, dans les derniers rayons du soleil, l’on peut se retourner vers le Nil divinisé et la vie qui suit toujours son cours.