Chaque année, à l’époque de la « zafra », de 15 à 20 000 personnes traversent la frontière dominicaine en vertu d’un accord signé entre les 2 pays, ou illégalement, pour échapper à une misère endémique. Leurs conditions de travail et de survie dans la plantation géante du CEA (Consejo Estatal des Azucar/ Conseil d’État du Sucre) sont pires que celles de l’esclavage.