A la fin des années 1940, le chercheur soviétique Sakharov est en charge du projet de la bombe à hydrogène, tandis qu’aux Etats-Unis, deux scientifiques de Los Alamos, Teller et Oppenheimer, s’activent eux aussi à son élaboration. Partout dans le monde, les populations se préparent à se réfugier dans les abris nucléaires en cas d’attaque : la bombe à hydrogène serait capable d’infliger mille fois plus de dégâts que les bombes atomiques lâchées sur Hiroshima et Nagasaki.