La Chine Populaire se convertit à la Pop, le poison capitaliste sans poison… Pour étendre son influence et contrer celle de la K-Pop ou de la J-Pop qui trustent les charts, Pékin s’est lancé dans la fabrication de boys et girls band à la chaîne.
Des visages de logiciels, des looks glam rock, une chorégraphie calibrée, la mandopop singe plus qu’elle n’innove : le brouet musical est à peu de choses près le même, standardisé mais 100% made in China.
Et approuvé bien sûr par le comité de censure.