Ils sont décriés, synonymes d’excès en matière d’alcoolisme ou de sexualité, mais pour les étudiants américains, ils contituent toujours une échappée annuelle très attendue avant les examens de fin d’études. Les «Spring Breaks», littéralement les «Pauses de printemps», attirent la plupart des étudiants d’Amérique du Nord vers de prétendus séjours festifs. A un âge où l’on veut pousser ses limites toujours plus loin, où l’on se cherche une place, une identité, une personnalité, ces fêtes monumentales constituent-elles un terrain dangereux ou un défouloir indispensable ? Une étape essentielle du passage à l’âge adulte ou une foire à la débauche ?