Munira creuse à mains nues pour récupérer les os de son fils, tué pendant le génocide de Srebrenica. Même les mines ne l’effrayent pas. Aïda a été violée à la même période et ne peut plus avoir d’enfant. C’est quelques unes des histoires des mères musulmanes de Srebrenica. Bien que vingt années soient écoulées, elles ne cesseront jamais de souffrir. Même si c’est sous forme de fragments d’os, elles espèrent encore voir ceux qu’elles aiment rentrer à la maison. Un docuentaire de Giuseppe Carrieri.