Ce n’est pas la trajectoire politique de sa vie qui nous est présentée mais la démarche quasi mystique d’Adolf Hitler pour se bâtir une philosophie personnelle ambitieuse, sombre et impitoyable. Ses maîtres à penser, Stewart Chamberlain et Alfred Rosenberg en tête, prônant le mythe de la pureté raciale, l’antisémitisme et le pangermanisme, lui ont servi de guides. Empruntant symboles et références aux légendes teutoniques, nordiques et moyenâgeuses, Hitler réussit à faire du Nazisme une véritable religion païenne.