Depuis peu, la gendarmerie s’intéresse aux affaires non élucidées à travers une structure dédiée. Elle s’appuie sur des experts issus de différentes spécialités afin de tenter de les résoudre.

Avec un œil neuf et grâce à des compétentes spécifiques, il s’agit d’étudier des procédures anciennes, souvent complexes, et de mettre à profit les dernières avancées en termes d’analyse criminelle et de méthodologies scientifiques.

Dans ce cadre, l’archéologie joue un rôle majeur et nouveau. À l’instar des pays anglo-saxons notamment, l’archéologue intervient sur le terrain où les faits se sont déroulés, qu’il s’agisse de crimes individuels récents ou de masse en terrain de guerre.

La conférence fera le point sur ces sujets délicats, humainement sensibles, où la science pluridisciplinaire est pleinement mobilisée.