Chaque camp se renvoie la responsabilité des violences. Le président de la République cible les casseurs et la France insoumise de vouloir délégitimer les institutions. Les manifestants dénoncent les méthodes brutales du gouvernement. A Sainte-Solines comme dans les cortèges contre la réforme des retraites, après la colère c’est la violence qui s’impose.