Les Suisses sont friands de médecines complémentaires, plus d’un tiers y ont recours chaque année. Les limites de la médecine conventionnelle peuvent expliquer cet engouement. La médecine intégrative vise à élargir la boîte à outil des médecins avec des thérapies complémentaires. Doit-on faire entrer des médecines naturelles ou traditionnelles à l’hôpital et dans les cursus universitaires ?