De Ramallah à Papeete, du growl aux platines, une vague d’artistes affrontent les clichés à l’instar du jordano-palestinien The Synaptik, qui se démarque des « rappeurs ONG » en évitant de faire rimer guerre et Proche-Orient. A Tahiti, les inventeurs du « Gothique Paumotu » Tikahiri font du heavy metal au pays des vahinés alors que la DJ marocaine ثGlitter٥٥, figure montante de la scène électro parisienne, démolit les soirées labellisées « techno-orientales ».