Ce n’est pas la vieillesse dont ils avaient rêvé. Ces travailleurs de l’après-guerre, des années fastes des Trente glorieuses, ont découvert avec la retraite, la précarité. Leurs pensions sont trop faibles pour suivre l’augmentation du coût de la vie, et certains doivent se résoudre, souvent pour la première fois, à demander de l’aide. A Montreuil, en région parisienne, les Restos du coeur ouvrent deux fois par semaine leurs portes à ces retraités pauvres. Pour des distributions alimentaires, et un peu plus.
Rencontre avec Monique, Josiane, Renée et Jacqueline. Un documentaire d’Alice Gauvin.